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"Pour tout bagage on a vingt ans"

17 janvier 2010

Un petit peu dair

Dalat, cest LA destination de vacances pour les vietnamiens. Cest une ancienne station climatique francaise, donc il en reste des morceaux.

Je commence la journee par un tour sur le grand marche ou jachete des fraises (de Dalat! oui oui!). Puis je le tour du lac artificiel si kitsch avec ses pedalos-cygnes tout beaux tout neufs!

Jentame enfin la colline (et quelle colline!), direction la gare. Je suis un peu decue, je mattendais vraiment a une vieille gare. Mais derriere, il y a quand meme deux vieilles locomotives et quelques wagons qui valaient le detour (et la montee...).

Je poursuis ma route vers la cathedrale (qui ne casse pas des briques), puis vers les telecabines qui permettent de monter a un temple qui surplombe un lac. En fait, cest un ensemble de temples plutot neufs sans grand interet. Mais les jardins et les terrasses sont jolis, et le lac brille des reflets des quelques rayons de soleil qui traversent les nuages. Et lendroit est tres calme, ca fait du bien.

La montee dans la cabine est sympa aussi, ca donne une jolie vu sur la ville, les montagnes ou les nuages saccrochent, et les terrasses cultivees en dessous.

De retour au restaurant de lhotel, je minstalle a cote de deux francais frigorifies. Et oui, il fait froid a Dalat! Mais ca fais un air plus respirable, moins lourd.

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16 janvier 2010

Chaud/froid

Dans le bus, je suis installee a cote dun aveugle. Au premier arret pipi je lui demande sil veut descendre se degourdir les pates mais il ne semble pas comprendre langlais. Au moment de larret pour manger, jai donc demande au mec qui verifie les tickets et aide les personnes agees a descendre de laider, car il navait pas lair de lavoir remarque. Quelle est gentille Soeur Charline!

Le bus avance dans les montagnes. Cest vraiment beau. Dans des champs, des petits chapeaux pointus depassent des plants et arrosent tout autour deux. Cest tres joli a voir.

On arrive enfin a Dalat. Il fait plus frais qua Saigon. Dans les rues, on a sorti les doudounes et les bonnets! Et on peut a peine voir le nez des enfants qui depasse de leur cagoule!

Japprecie la fraicheur, mais japprecie aussi la douche chaude!...

15 janvier 2010

Comme a la maison

Ma lessive nest pas prete, et comme je ne vais pas mettre mes affaires mouillees dans mon sac, je reste une journee de plus a Saigon...

Je continue donc mes petites habitudes dhabituee. Je commence a etre un peu chez moi maintenant. Et les gens me reconnaissent et me saluent. Cest rigolo.

Et je continue mon blog.

14 janvier 2010

Au menu, steak et roti!

Ce matin jespere encore vaguement un appel pour moi, mais rien. Un peu decue, je traverse la petite rue pour minstaller dans mon bouiboui habituel. La, une petite vieille femme vient sinstaller en face de moi et commence a papoter en francais (avec mon journal dans les mains jetais grillee!). "et vous voyagez pour combien de temps?", "et vous travaillez ici?", "et quest ce que vous faite dans la vie?", "ah? de la cuisine vous dites? ben justement..." (jaurai du men tenir a la boulangerie!) En fait, cette petite dame doit travailler pour une famille francaise et leur faire a manger. Et elle voudrai savoir ce que mangent les francais... Elle me demande une recette de roti, bon. Je me lance, en rassemblant tous mes souvenirs de rotis... Mais ca nest pas assez! Elle veut aussi savoir quelle est la meilleure maniere de cuisiner un steak!! Alors je rassemble tous mes souvenirs de steak... Ca a lair de la rassasier.

Je me balade ensuite un peu, et, comme vous laurai remarque, je commence a mettre mon blog a jour.

13 janvier 2010

Bulles

Ce matin, pas dappel non plus. Bon.

Je continue de chercher des infos sur les assos plus au nord. (on trouve vraiment beaucoup de choses sur le Routard.fr!).

Puis je bulle, je bouquine, je me promene, je fais mon habituee.

Et cest a la terrasse dune gargotte que je retrouve par hasard le couple despagnol qui sont partis de chez eux en velo depuis plus dun an... et que javais rencontre a la ferme au Laos!

Du coup on se raconte nos aventures respectives depuis la derniere fois. Ils ne pedalent plus depuis quils sont au Vietnam. Vraiment trop dangereux!

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12 janvier 2010

Le musee des horreurs

Ce matin, jappelle donc au numero. La dame me repete plusieurs fois que la journee, elle bosse, quelle me rappelle ce soir ou demain. Ah. Je pensai la voir aujourdhui...

Je vais au musee des vestiges de guerre. Ca me retourne. Dehors, des chars, des avions, des obus. Dedans, beaucoup de photos... Et beaucoup dexplications qui explique trop bien (meme si tout est tres subjectif...), dans lordre chronologique.

Ce soir, pas dappel.

11 janvier 2010

Soeur Charline ?

Apres avoir dicte la route au chaufeur du mototaxi (hum...) jarrive saine et sauve derriere le theatre. De la je vais a lIDECAF (un equivalent du centre culturel francais) ou jespere trouver quelquun qui pourrait mindiquer quelques assos dans le coin (en francais cest toujours plus facile). Car internet cest bien joli mais il y a des infos qui commencent a dater... La petite dame tres gentille ne peut pas trop maider. Je fais donc un tour dans le quartier, tres francais. La poste, le theatre, lhotel de ville, la cathedrale.

Puis je vais au resto dun glacier francais installe la depuis un moment. Lui, il pourrait maider. Manque de bol, il nest pas la...! Alors bon... On me connait... Jallais pas etre venue pour rien quand meme! Je me tape donc une super bonne glace!

Un peu depitee je fais un grand tour sur le marche.

En rentrant, bonne surprise, le president dune asso ma envoye une reponse par mail tres precise, avec un numero de telephone! Lasso... cest Mere Isabelle!!! Comme quoi, tout est possible!

10 janvier 2010

Et maintenant quest ce que je fais?

Je me leve tot ce matin pour choper un bus pour Vinh Long et de la, rejoindre Sadec (sur les traces de Marguerite Duras). Il ny a pas de bus pour Vinh Long. On mindique une autre station de bus de lautre cote de la riviere, ou il y aurai des bus pour Sadec. Je prend le ferry et, de lautre cote, je commence par chercher quelquun qui parle un peu danglais ou de francais. Impossible. A force de mimes, ils comprennent ce que je cherche, et mindiquent le ferry, et, plus loin par la bas, des bus... Autrement dis, ils me disent de refaire le chemin inverse... Depitee je reprends le ferry.
Jabandonne lidee de Sadec et Vinh Long, et Marguerite.
Je minstalle devant un ordinateur, et je commence a chercher des assos ou des ONG sur Saigon qui auraient besoin de benevoles.
Marre detre une touriste, detre une spectatrice. Marre des touristes en general. Jai decide de me secouer un peu.

9 janvier 2010

Bullage au coeur du Delta

Je fais un rapide tour sur le marche et dans la ville.
Je prends ensuite un tout petit bus blinde de monde en direction de Can Tho, une ville vraiment au coeur du Delta du Mekong.
Une fois mais affaires posees, je vais me balader sur les quais.
Puis je minstalle a une terrasse pres de leau pour buller, et divaguer.

8 janvier 2010

A nous deux, Vietnam!

Cette fois ci, dans le bateau, je me met loin du moteur. Mais cest un autre type de bateau, beaucoup moins bruyant.
On arrive a Chau Doc, petite ville au bord dune riviere. Je reste pres de la riviere, pour ne pas dire sur la riviere ; dans la chambre de lhotel, je sens le batiment bouger au gres des flots et des bateaux qui font des vagues...! Jai une belle bue sur les habitations flottantes et la riviere!

7 janvier 2010

Bullage bis

Comme je suis un peu malade du bide (et oui ca marrive finalement!) je prends loption de facilite pour aller au Vietnam, un bateau touristique qui passe la frontiere exactement la ou je veux. Ce poste frontiere nest ouvert aux etrangers que par le Mekong...
Ce soir, je vais manger dans le meme resto quavec Yves, et la jeune femme me demande ou il est. Alors je lui explique son depart et mon voyage de cinq mois. Ses yeux petillent denvie.

6 janvier 2010

Bullage

Je me rehabitue a marcher seule dans la rue. Ca fait drole quand meme.

5 janvier 2010

La fin du voyage a deux

On attrape le bus de Phnom Penh sur la route. Je ne voit pas le temps passer, et nous voila deja arrives. Apres avoir marche un peu, on retourne finalement a celle que je nous avais trouve au debut. Les gens sont content de nous voir revenir.
On part ensuite au marche central pour quYves trouve deux trois cadeau-souvenirs quand meme. Je profite de son "sac du retour" pour y laisser les bouquins que jai deja lus, et quelques souvenirs.
On sinstalle en debut de soiree au meme bar resto quau debut du voyage. Les dames nous reconnaissent. On retrouve aussi la petite fille rigolotte qui vend des livres. On lui paye a manger (elle en mange un petit peu, et emporte le reste pour sa mere).
On se balade une derniere fois dans les rues de Phnom Penh, et cest deja lheure du grand depart.

4 janvier 2010

Dernier coucher de soleil

On se reveille avec le chant des vagues. Petit bain matinal. Tout est encore calme.
Pendant que je bouquine, Yves joue avec les crabes qui creusent leur trou. Cest mignon! Faudrait pas qu'ca grandisse!
On avance lheure du bateau.
Arrives a Kep, on recupere nos affaires laissees chez Fabrice. Le mec de la guest house nous prete des velos, et on trouve un endroit ou admirer notre dernier coucher de soleil. Yves est malade. Gros rhume.
Ce soir, les employes de la guest house sont de sortie. Donc cest barbecue pour tout le monde (tres bon) et cest le patron qui gere tout, ou du moins qui essaye. Il a lair de courir un peu partout.

3 janvier 2010

Lapin !!!

De retour a Kep et la mobilette rendue, on prend un bateau pour lile du Lapin (appelee comme ca car, vue du ciel, elle a vaguement la forme dun lapin). Le bateau nous depose pile poil devant guest house. Automatiquement, le patron sort un trousseau de cle et nous dit de le suivre. Mais non, ca ne se passe pas comme ca avec nous!
On entame le tour de lile (avec les sacs...) en esperant trouver de quoi dormir de lautre cote. On ne veut pas avoir la vue sur le continent.
Au bout dune heure et demi on termine la boucle par les plages, bredouilles. Lile nest pas tres peuplee. Sur la route, on a traverse trois petits villages de pecheurs, pas plus. Au centre de lile se dressent fierement une petite montagne, mais elle nest pas tres accessible.
On va donc sinstaller dans un des bungalows, et on fait un plongeon dans une eau claire et tiede (pas tres raffraichissant!). Cest la premiere fois que je me baigne sur une plage bordee de cocotiers! Comme dans les magazines!
Tout lapres midi on continue de se baigner, de bouquiner, de glandouiller, mais on se rend bien compte quon va pas supporter ca jusqua demain seize heure, heure de rendez vous avec le bateau... Surtout que Yves a fini son bouquin...

2 janvier 2010

Kampot (de pomme?)

On est un peu malade tous les deux ce matin. Alors on glandouille, on bouquine, on va sur internet.
On se secoue quand meme en debut dapres midi, pour aller voir une grotte pas trop loin.
Au debut, la grotte ne parait pas avoir un grand interet. Mais un ado se charge tout de suite de nous avec deux enfants, et heureusement. La balade dans la grotte savere etre un petit parcours du combattant. Des voutes tres basses, des trous en hauteur, des petits passages secrets... Chaque pas est ponctuer dun "attention la tete" dun des enfants, ou "attention ca glisse". On rigole un peu quand mes hanches manquent de ne pas passer au premier trou un peu etroit. On rit encore plus quand, alors que je fais glisser mon pied contre la branche qui sert dechelle pour atteindre le premier barreau, tres bas, on entends un petit "crcraaac" venant de mon pantalon... Tout au long de la balade, les enfants nous pointent des trous, des pierres, des stalagtite ou stalagmite qui ont la forme un peu vague dun elephant, dun coeur...
A quelques kilometres de Kampot, des gens nous indiquent la route pour trouver la mer. La piste mene a un genre de guest house de luxe, avec plein de bungalows en dur, une piscine, et la plage. Dans un jardin, le chef cuistot fait une petite demo pour la tele, sa belle et haute toque sur sa tete.
On marche jusquau bout dun long ponton, dou on voit le soleil se coucher.

1 janvier 2010

"Toucher les nuages"

A peine leves que nous voici tous les quatre sur nos mobilettes vrombissantes, a fond vers Kampot (jexagere le tableau).
Le temps de poser nos sacs dans le petit bungalow trouve du premier coup, et nous prenons la route du Bokor.
Le Bokor est un petit parc national, de belles petites montagnes. Il y a quelques decennies, les francais y avaient installe une station climatique avec un casino, maintenant en ruine. On commence la montee en mobilette (a pied, il faut trois jours). La route est en travaux, et est ouverte exeptionnellement aujourdhui et hier. Les travaux sont fais grace a largent de Sokimex, un grand du petrole local... Et ca se voit, aux moyens deployes et a la rapidite et lampleur des travaux.
Plus on monte, plus la route devient piste. On saccroche, on tient bon. Je pousse un peu sur mes jambes histoire de sauvegarder mon fessier et ma colonne vertebrale. Au bout dun moment, Tiphaine et Romain nont presque plus dessence... Un couple de jeunes khmers de Phnom Penh accepte de nous charger a larriere de leur pick up.
On arrive bientot sur lancienne station climatique. On descend pour se promener un peu, puis la jeune femme nous dis de remonter pour aller plus loin, "venez, on va toucher les nuages". Et en effet. La vue est superbe derriere le casino. En sapprochant dune haute falaise, on voit une petite etendue de terre puis la mer. Toute la cote. Rapidement, a nos pieds, se forme une mer de nuages. Tres poetique.
De nombreux khmers sont venus en famille, pour le pique nique. Certains sont meme installes a linterieur du casino.

31 décembre 2009

Pedalo et nouvel an

Au petit dej, apres setre reveiller avec le murmure des vagues, on decide de louer deux mobilettes et de continuer a quatre.
On prevoit daller a Kampot pour passer le nouvel an. On laisse donc une partie de nos affaires chez Fabrice (qui a tout de meme cette grande gentillesse).
Avant tout, on passe au marche aux crabes pour en deguster quelques uns au poivre, delicieux, puis on part a la recherche dune plage parait il secrete. On prend plusieurs petites pistes (quitte a arriver parfois chez des gens...) mais on ne trouve rien. Elle est bel et bien secrete. Un petit jeune, un francais, nous parle dun lac entre ici et Kampot.
Le lac est magnifique, tout est extremement calme. En plus, en cette fin dapres midi, la lumiere est tres douce, tres chaude, tres belle. Un vrai petit coin de paradis.
Pour rigoler, quand on a entendu parle de lac, on a tout de suite pense "pedalo". Ironie du sort, deux majestueux (hum) cygnes-pedalo flottent sur leau, a nos pieds... Ils nous attendaient! Alors on pousse la blague jusquau bout, on monte dedans, et on fait la course.
On decide de rester a Kep pour la soiree, pensant que Kampot est trop loin, et la nuit trop proche.
Et cest reparti pour chercher desesperement un endroit pour dormir. On aura visiter presque toutes les guest houses de Kep... On en trouve une pour quatre, la seule.
Pendant notre grande course au logement, on nous a informe de la soiree organisee pour la nouvelle annee par toutes les guest house du coin.
En fait, ca se passe dans un truc pseudo chic autour dune piscine, tenu par un gros francais (puant). Tout le monde sest fait beau, il ny a que du beau monde, que des touristes, les boissons sont cheres, la musique occidentale "boum boum". On sen va rapidement au moment ou les feux dartifice sont senses exploser (mais nexplosent pas car "ces cons de cambodgiens on ouvert les paquets trop tot donc ca a pris lhumidite" fin de citation) et ou deux petites americaines (je nai rien contre les americains!) on saute dans la piscine avec les yeux (et les gestes cela va sans dire) pleins de lespoir de se faire "remarquer" par les trois paons qui sont deja dans leau. Je suis mauvaise, mais ce nest franchement pas mon truc...

30 décembre 2009

Tiphaine, Romain, et ... Fabrice

Apres avoir laisse mon passeport (pour le visa pour le Vietnam) et une petite balade dans Phnom Penh, on prend un bus direction... la mer!!
On arrive sans grande aventure a Kep, un petit village tout en longueur au bord de la mer. Comme cest deja le soir, on a du mal a trouver une chambre (ou plutot deux, vu quon vient de rencontrer Tiphaine et Romain). Tout ou presque est complet... Reflechissons un peu... La mer... Le soleil... Les vacances de noel... Le 30 decembre... Bien sur! Tout le monde est venu ici pour feter le nouvel an!!! On fini par atterir chez Fabrice, un breton dans lame un peu grande gueule... Il nous propose des grands lits dans un dortoir a 5 dollars le lit. Bon, aller, cest parti, on sinstalle tout les quatre. Et quitte a partager notre nuit a quatre, autant se connaitre un peu non? On passe la soiree au fond du jardin du sacre Fabrice, a deux pas de la mer.

29 décembre 2009

Le petit train de bambou

Depuis un moment deja, Yves me parle dun train en bambou qui se promenerai sur les vieux rails pres de Battambang. On y part donc, un peu a reculons pour ma part...
Au final, on en revient tous les deux decus et enerves. En fait cest une petite plateforme en bambou avec un moteur de tondeuse, demontable facilement. Comme il ny a quune seule ligne pour les deux sens de circulation, quand une plateforme en croise une autre, la moins chargee est demontee et posee sur le cote de la voie, on laisse passer lautre, et on remonte tout. Vu comme ca, ca peut etre rigolo a faire (avec des enfants...). En realite, les rails ne sont utilises que pour les touristes ou presque, et trois mecs se font du ble la dessus. Car attention, cest pas tout a fait donne; on paye pour la plateforme, quon soit un ou dix. Alors nous, pas trop betes, on se dit (et on fait la betise de leur dire) quon va attendre dix minutes que dautres touristes arrivent, pour partager les frais. On est tout contents quand on voit arriver un couple dans un tuk tuk qui commence a se garer. Malheureusement, le mec des plateformes ne la pas decide ainsi, et papotte rapidement avec le chauffeur de leur tuk tuk, qui poursuit finalement sa route.
On monte donc dans notre plateforme, et 500 metres plus loin, on voit nos deux touristes qui montent dans la leur. Et cest parti, cul a cul, pour six kilometres parmis les broussailles qui nous cachent forcement le magnifique paysage quon nous avait chante. On a eu une legere impression de se faire entuber. Je me suis sentie comme dans un "petit train" du style parc disney ou lac du Lambon... Bref. On est content!
On senfuit rapidement en bus pour Phnom Penh. Devant nous, il y a quatre petites personnes agees qui narretent pas de se retourner et de nous fixer... Au bout dun moment, la tele passe des clips Sud Coreens, qui ont lair de les interesser particulierement. Ca nous laisse un petit moment de repit.

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